Quotidien douloureux d'une famille de militaire, relation père/fils, fragilité de la masculinité, récit sportif: Jonathan Beaulieu-Cyr (Mad Dog Labine) ratisse large avec son premier film en solo. Si Phénix manque de rythme et s'égare à mi-chemin, il est animé d'une mise en scène sensible aux images soignées et d'une interprétation puissante de Maxime Genois dans le rôle de la fragile figure paternelle. En salle. ***
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