Premier film de Michel Leclerc à prendre l'affiche au Québec depuis son excellent Le nom des gens, Le mélange de genre troque la lutte politique pour celle du sexe à l'époque #metoo. Dommage que ce nouveau long métrage, rigolo à ses heures, croule sous un scénario maladroit et des situations qui dépassent l'entendement en 2025. Reste la performance amusante de Benjamin Lavernhe et la musique savoureuse de Vincent Delerm. **1/2
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