Sorte de Florida Project suédois, Paradis en cendres de Mika Gustafson suit des enfants laissés à eux-mêmes. La réalisation alerte et le jeu naturel des comédiennes se heurtent à un scénario brouillon et répétitif. C'est donc chez l'aînée que le bonheur est le plus grand, amenant intérêt et profondeur à un exercice quelque peu éparpillé, dont la finale ravit toutefois au plus haut point. En salle. ***
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