Yvan Attal et Mathieu Kassovitz campent des frères hantés par leur passé dans Frères d'Olivier Casas. Adapté d'un livre et inspiré d'une histoire vraie, le film d'une lourdeur abyssale est ponctué d'une narration explicative, d'une musique manipulatrice et d'enjeux qui laissent parfois à désirer (avec un détour au Canada ponctué de tous les clichés possibles et inimaginables). Une déception certaine, surtout devant la qualité de l'interprétation et le soin apporté à la mise en scène (avec ses jeux d'ellipses et cette caméra frétillante dans la nature, l'ombre de Malick n'est jamais bien loin). En salle. **1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire