Cette relecture queer de Conann est parfaitement en phase avec le précédent travail de son réalisateur Bertrand Mandico (Les garçons sauvages, After Blue (Paradis Sale)). Brillant détournement de genres pour les uns, branlette soporifique pour les autres, l'ensemble punk et gore ne laisse pas indifférent. Un peu plus de viande autour de l'os n'aurait pas fait de mal, mais on peut tout de même apprécier se perdre dans ce délire psychédélique qui est à prendre ou à laisser. Présenté ce soir et le 17 février au Cinéma Moderne. **1/2
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