Douze années après le succès de Royal Affair, le cinéaste Nikolaj Arcel renoue avec Mads Mikkelsen pour un autre film d'époque, se déroulant cette fois pendant la colonisation. Bien plus que pour son récit convenu qui ratisse large (l'histoire d'amour est de trop), Bastarden mérite le détour pour l'immense soin apporté à sa photographie. Les images, magnifiques, évoquent le chef-d'oeuvre Days of Heaven de Malick, amenant un immense côté épique à cette fresque violente et vigoureuse. ***1/2
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