Avec Les chambres rouges, Pascal Plante change radicalement de registre, jouant sur les plates-bandes de David Fincher et de Michael Haneke dans sa façon de traiter d'un tueur en série et d'images glaciales et violentes. Le scénario n'est pas toujours à la hauteur, mais sa mise en scène fascine de bout en bout. Ma critique est à lire dans La Presse. ***1/2
samedi 12 août 2023
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