Il y a rarement eu une carrière autant en dent de scie que celle de Fatih Akin. Tout avait pourtant bien commencé avec L'engrenage (1998), un récit de gangsters à la Scorsese. Le manque d'originalité du propos est pallié par une réflexion engageante sur l'amitié et une mise en scène vivante qui n'allait que se bonifier au fil des projets. ***
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