Combien est-ce qu'il y a de récits d'apprentissages qui se déroulent dans le monde de la restauration? Beaucoup trop. À la belle étoile de Sébastien Tulard ne propose absolument rien de nouveau ou d'intéressant, ressassant tous les clichés en oubliant d'y investir une réelle proposition de cinéma. Riad Belaïche fait ce qu'il peut dans le rôle principal, mais en vain. Au cinéma ce vendredi. **
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