Il y a peu de films qui ressemblent à The Works and Days (of Tayoko Shiojiri in the Shiotani Basin). D'une durée de huit heures, ce long métrage de C.W. Winter et Anders Edström parle tout simplement de l'existence «normale» sans se perdre dans la narrativité. Il y a le temps qui passe, les silences du quotidien, les routine journalières et les saisons qui s'écoulent. Tout cela sert un magnifique travail de photographie qui remet l'image - et le son - au coeur des préoccupations cinématographiques. Un voyage doux, calme et hypnotique d'une beauté renversante, qui émeut au plus haut point quand la vie laisse sa place à la mort. ****
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