Documentaire qui a lancé Errol Morris, Gates of Heaven qui traite de l'industrie des animaux morts vaut davantage le détour pour le traitement humaniste de son sujet et les liens moraux qu'il développe que pour sa technique simple et sa réalisation désuète. Le long métrage a beau s'éparpiller et manquer de rythme, il surprend constamment, traitant de la mortalité et de la solitude chez l'Homme, qui préfère bien souvent s'entourer de chiens et de chats que de créer un contact avec ses semblables. Le résultat s'avère drôle et révélateur. ***1/2
mardi 25 juin 2013
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