Pour sa première réalisation Sometimes a Great Notion en 1971, Paul Newman peut compter sur Henry Fonda et Michael Sarrazin (et lui-même) pour retransmettre les doutes, les possibilités et les épreuves qui attendent une famille qui est plongée dans une crise économique. Doté d'un rythme volontairement lent et verbeux, cette très belle fiction à la photographie exemplaire semble tâter vers le documentaire, pour mieux revenir à ses sujets par la suite. Une de ses scènes finales ne risquent pas de s'oublier de sitôt tant elle possède un lot d'émotions démentielles. ***1/2
lundi 3 décembre 2012
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