Daniel Day-Lewis sort de sa retraite pour jouer dans le premier long métrage de son fils Ronan. Cela est tout à fait normal en fonction du sujet (un père en cavale hésite à secourir son fils en danger). Mais Anemone laisse de glace. Malgré la conviction de ses interprètes et une superbe trame sonore, le récit s'apparente davantage à un vidéoclip verbeux et luxueux qui ne traite jamais en profondeur ses enjeux. **1/2
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