Par l'entremise d'un homme en fin de vie, sa fille découvre les horreurs de la dictature de Duvalier à Haïti dans Le dernier repas. Puissante, cette fiction signée Maryse Legagneur permet de faire oeuvre utile, surtout que les interprètes sont généralement bouleversants et que la mise en scène ne manque pas de sobriété. Quelques répliques plus didactiques et un traitement inégal de la temporalité (le passé est nettement plus intéressant que le présent) limitent toutefois la portée du récit. Présenté ce soir au Festival international du film black de Montréal et à l'affiche demain. ***
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