Trois décennies après sa sortie, voici que prend l'affiche une nouvelle version de The Crow, qui s'inspirerait davantage de la bande dessinée originale. Le résultat en place, particulièrement indigeste, ressemble à un long clip d'Evanescence avec son histoire d'amour ultra kitsch, ses personnages peu crédibles, ses développements laborieux et sa rage gothique inoffensive. Le tâcheron Ruper Sanders a passé sa carrière à reprendre des oeuvres cultes et il ne possède ni le talent ni le style d'Alex Proyas. Encore une fois, mieux vaut revoir l'original. *1/2
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