Film maudit de la riche filmographie de Jacques Rivette, Noroît (1976) apparaît comme un ratage spectaculaire: soigner autant sa mise en scène et son esthétisme pour accoucher d'une oeuvre qui dépasse l'entendement, entre western féministe saupoudré de fantastique et long métrages de pirates. Le cinéphile, d'abord fasciné et rapidement irrité, finit par se perdre dans ce délire théâtral qui semble durer deux éternités et demi. **
mercredi 1 mai 2024
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