Indiana Jones sans Steven Spielberg, ce n'est pas vraiment Indiana Jones. The Dial of Destiny de James Mangold s'amuse à copier le maître en versant dans la nostalgie, sauf que le résultat n'étonne ou n'enchante jamais. Au moins on en ressort divertit pour ce dernier tour de piste où Harrison Ford s'est investit corps et âge. Ma critique. ***
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