Nagisa Oshima aura scandalisé son public jusqu'au bout. Même sur son dernier film, le bien nommé Tabou, il arrive à créer une zizanie sexuelle chez les samouraïs du 19e siècle, développant une intrigue opaque qui fascine allègrement. Cela est possible grâce à sa distribution de choix (Beat Takeshi, Ryuhei Matsuda, Tadanobu Asano), mais surtout à une mise en scène de haut niveau, qui envoûte par sa trame sonore - signée Ryuichi Sakamoto - et obsède par l'immense soin apporté aux images. ****
samedi 20 juin 2020
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