Si tous les documentaires environnementaux étaient comme Aquarela, le monde s'en porterait mieux. Ce sont les images qui ont le dernier mot dans cette fresque impressionnante de Viktor Kossakovky, qu'il a dédié à l'illustre Sokourov. Les dérèglements climatiques prennent la forme d'eau, de glace et de vagues qui explosent littéralement au visage des spectateurs, prisonniers d'un maelström immersif de bruits et de fureur qui rappelle les films de guerre. C'est d'ailleurs presque aussi marquant que l'immense Leviathan qui a déferlé sur les écrans en 2012 et en 2013. ****
dimanche 8 septembre 2019
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