L'éternel combat entre l'honnêteté et la cupidité fait rage dans All the Money Can Buy (1941), qui est aussi connu sous le titre The Devil and Daniel Webster. Avec son scénario ambigu (la foi, le Démon et l'essence même des États-Unis ont tôt fait de brouiller les cartes) et son interprétation chargée (qui va du sublime au grotesque), le film ne fait pas dans la demi-mesure. Il bénéficie toutefois d'une mise en scène de belle facture de William Dieterle, d'une photographie fabuleuse et d'une trame sonore appropriée de Bernard Herrmann. ***1/2
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