James Ivory adore filmer la rencontre entre l'ancien et le nouveau monde. Il use à fond de cette métaphore dans Shakespeare Wallah (1965), où un amour illicite permet de traiter des relations entre la Grande-Bretagne et l'Inde, entre le théâtre et le cinéma. Appuyé, le propos n'en demeure pas moins passionnant, et si le récit n'est pas sans redites, il est composé minutieusement (la photographie en noir et blanc est magnifique) et défendu avec talent. ***1/2
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