S'intéressant aux dernières semaines d'une figure importante de l'Histoire canadienne, Louis Riel ou Le ciel touche la terre de Mathias Meyer en met plein la vue visuellement mais affiche rapidement ses limites sur le plan narratif. Ainsi, des personnages qui semblent constamment réciter leurs textes tentent d'évoluer dans un univers austère, à la fois épuré et esthétisé. Qui n'est pas Bresson ou Dreyer qui veut. Cela dit, la prise de risque est immense et le cinéphile patient sera récompensé d'une oeuvre qui sort largement des sentiers battus. ***
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