Le néoréalisme italien rencontre la nouvelle vague taïwanaise dans
Eyimofe d'Arie et Chuko
Esiri, un portrait sans concession de deux Nigériens en quête de bonheur dont chaque relation est marquée par l'argent. La fine mise en scène est au service de son sujet universel et l'interprétation naturelle apporte une candeur à ce film de qualité supérieure. ***1/2
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