Elia Suleiman réalise peu de films. Cela rend ses opus d'autant plus inestimables qu'ils valent toujours le détour. Récompensé l'année dernière à Cannes, It Must Be Heaven (ma critique ****) semble avoir prophétisé la crise actuelle. J'ai eu la chance de m'entretenir avec le cinéaste palestinien et le fruit de mon entrevue se trouve dans le journal Métro d'aujourd'hui.
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