Séparé en deux parties, Super Happy Forever de Kohei Igarashi traite de l'absence, avant d'effectuer un saut dans le temps et d'aborder la naissance du sentiment amoureux. Les langueurs dramatiques du début sont peut-être répétitives, elles annoncent pourtant les éclaircies lumineuses salvatrices qui vont suivre. La mise en scène minimaliste réglée au quart de tour et l'interprétation irréprochable donnent le goût de s'embarquer dans cette aventure où partir en vacances prend soudainement un autre sens. En salle ce vendredi. ***1/2
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